Élues, ministres…, elles témoignent dans un livre de la manière dont elles sont ignorées par les hommes dans l’exercice du pouvoir. Édifiant.
PAR LE POINT.FR
Interrogée sur le mouvement #MeToo, Christine Lagardeest invitée à se demander si elle, l’une des femmes les plus influentes du monde, n’a pas pourtant été victime de discrimination. Elle raconte : « J’observe le regard porté par les hommes sur les femmes, ils ont un degré d’écoute et une préoccupation légèrement biaisés. Dans le meilleur des cas, cela peut se traduire par du paternalisme, une façon d’être protecteur. Mais ça peut être aussi une attitude condescendante, un regard qui dit : Celle-là, elle va nous raser pendant un quart d’heure. Cela m’arrive encore. (…) Maintenant (…), si je repère un petit sourire condescendant quand je parle, je m’arrête et j’interpelle : Il y a un problème ? En général, ça marche. »
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